Le numéro 54 de la revue Agone, intitulé « Les beaux quartiers de l’extrême droite », vient de paraître. Il peut être commandé ici.

Au sommaire

— Alain Bihr, « L’extrême droite à l’université : le cas Julien Freund », avec une introduction de Sylvain Laurens
— Maïa Drouard, « Le patrimoine pour tous. Étude d’une contribution de l’extrême droite au maintien des classes dominantes »
— Samuel Bouron, « Un militantisme à deux faces : stratégie de communication et politique de formation des Jeunesses identitaires »
— Sylvain Laurens, « Le Club de l’Horloge et la haute administration : promouvoir l’hostilité à l’immigration dans l’entre-soi mondain »
— Stéphanie Chauveau, « Au-delà du cas Soral : corruption de l’esprit public et postérité d’une nouvelle synthèse réactionnaire »
— Michel Vanoosthuyse, « Ernst Jünger, itinéraire d’un fasciste clean : dernières publications, derniers masques »
— Évelyne Pieiller, « Céline mis à nu par ses continuateurs, même »
— Thierry Discepolo, « À l’abri de la religion littéraire française. L’« affaire Millet » comme erreur d’ajustement d’un consensus hégémonique apolitique »

La leçon des choses
— « Alfred Döblin et la littérature comme activité politique. “État et écrivain” », textes traduits de l’allemand par Michel Vanoosthuyse et introduits par Marie Hermann