Écrivains, correcteurs, éditeurs, libraires, lecteurs… camarades, amis, amants, parents, enfants, enseignants… républicains, monarchistes, fascistes, communistes, anarchistes, syndicalistes, ouvriers, patrons : ce sont les relations d’interdépendance entre les individus qui établissent la société. Son étiolement résulte du déséquilibre dans ces rapports, par le maintien de hiérarchies.
En fonction des objectifs que se donnent les groupes humains, le principe de subordination y est inégalement questionné voire admis comme allant de soi.
Certains groupes se revendiquant libertaires estiment pouvoir faire l’économie de réflexions collectives quant à leur manière de fonctionner au nom de la « souplesse », du « besoin de réactivité »… Continuer la lecture